Le « petit », modeste mais décidé festival de Haute-Loire, maintenant décentralisé dans l’agglomération lyonnaise pour certaines manifestations, présente en son édition printanière 4 programmes très variés : orgue (avec rappel baroque) et deux créations (Lenot, Campo) par J.C.Revel. Et aussi « Sextuor à cordes op.62 », trio hautbois-flûte-harpe (de K.P.Bach à Carter, Bacri et Pécou), et le Sextuor vocal d’Alain Goudard (de Lejeune à Evangelista, Forget à Combes-Damiens).
La série chambriste lyonnaise « Fortissimo » termine sa 1ère saison en invitant Andreï Korobeïnikov. Ce très jeune pianiste russe déjà fort reconnu internationalement s’affronte au défi capital de l’op.106 beethovenien, puis à une autre poésie, plus intime, celle des Impromptus de Schubert.
Le CNSMD lyonnais a inscrit dans sa série « Ecoutons jouer les mots » plusieurs concerts thématiques dont celui où, guidés par Udo Reinemann, les élèves de classes chant et accompagnement ont interprété en collectif trois cycles de lieder schumanniens. Retour sur un exemplaire travail sur les 50 lieder de Dichterliebe, Myrthen et Frauenliebe…
Pour leur dernier concert de la saison à l’Auditorium, Les Grands Interprètes ont demandé à Krystian Zimerman d’exprimer par son pianisme si poétique des partitions essentielles de Chopin : les deux Sonates, le 2nd Scherzo et la Barcarolle. Des moments qui synthétisent et fixent l’ardeur tempétueuse et la rêverie cosmique du compositeur franco-polonais.
« Tout Chopin »…même si on y ajoute un prudent « ou presque » : le Conservatoire de Lyon entend bien « rayonner » » pour le 200e anniversaire de la naissance. Et donner la parole, à un collectif d’enseignants, d’élèves et anciens élèves qui en dix concerts donne sa vision de L’Oeuvre aux scherzos, préludes, sonates, valses, ballades, valses et mazurkas. Et nous rapproche, dans l’ardeur juvénile, d’un vrai visage du compositeur polonais, si essentiel au romantisme d’hier et à un idéalisme pour a
« Tout Chopin »…même si on y ajoute un prudent « ou presque » : le Conservatoire de Lyon entend bien « rayonner » » pour le 200e anniversaire de la naissance. Et donner la parole, à un collectif d’enseignants, d’élèves et anciens élèves qui en dix concerts donne sa vision de L’Oeuvre aux scherzos, préludes, sonates, valses, ballades, valses et mazurkas. Et nous rapproche, dans l’ardeur juvénile, d’un vrai visage du compositeur polonais, si essentiel au romantisme d’hier et à un idéalisme pour a
Par leur seconde invitation au pianiste russe désormais quelque peu mythique, Les Grands Interprètes ont permis aux Lyonnais d’écouter Grigory Sokolov selon les univers contrastés de J.S.Bach solaire (2e Partita), de Brahms au crépuscule (Fantaisies op.116) et d’un Schumann dans l’ardeur tourmentée de sa 3e Sonate, enfin reconstituée en ses 5 mouvements.
20 événements, 13 concerts, 3 spectacles, 2 installations… En ces temps d’anniversarite galopante – 200 bougies par ci, 35 par là, on s’épuise à souffler pour éteindre sur les pâtisseries - , la discrétion d’Archipel sur le rappel de sa date fondatrice (secret bancaire ?) fait plaisir. La Xième édition, donc, de cet inventif et indispensable Festival des bords Lémaniques s‘articule autour de dualités
Le Chœur de voix féminines Calliope, fondé et dirigé par Régine Théodoresco, fête en 2010 son 10e anniversaire. En «musique profane », le voici entre romantisme (Schubert), chant français fin XIXe et début XXe, évocations de musiques d’autres terres. La création d’une œuvre commandée à Gilles Schuehmacher,...
Il Viaggio a Reims, Le Voyage à Reims de Rossini... à Marseille et à Bordeaux. Un opéra pas comme les autres (même de Rossini), ce Viaggio a Reims qui sur un prétexte de fêtes monarchistes réunit en situations merveilleusement musiciennes des personnages un rien déjantés…