Ce que fait d’abord sentir P. Stein, c’est la force dialectique à l’œuvre entre la solitude (Tatiana passionnée et bafouée, Lenski jaloux finissant par basculer dans son ravin neigeux, ou même à sa façon, Onéguine) et la cruauté des chants et danses de la mort sociale, à travers le divertissement et le regard mondain du jugement sans pitié.
Concert de Thierry Escaich et de l'Orchestre national de Lyon, le 25 février 2007, dans le cadre de la résidence du compositeur contemporain auprès de l'Orchestre lyonnais...