Dans la rituelle formule « sous le mur du théâtre romain d’Orange » (2 opéras, 2 concerts), on est cette année italien XIXe… avec 3 opéras (et les 2 concerts). La Traviata de Verdi, et en une seule soirée, le duo Mascagni-Leoncavallo : petite approche descriptivo-sociologique du verdisme et du vérisme.
Le Quatuor Debussy et ses invités. Pour le 10e anniversaire des Ballades de Cordes en Ardèche, le Quatuor Debussy continue son activité d’enseignement supérieur aux stagiaires, et organise les concerts autour de thématiques : Haydn, la voix dans tout son éclat. Les Quatuors Satie et Prometeo, le Chœur Britten (Nicole Corti), la soprano Françoise Masset, les harpistes Christine Icart et Christophe Truant, la gospelienne Liz Mc Comb sont de la fête en 8 lieux d’Ardèche où site, patrimoine et ar
Pour la 20e de ce Festival « unique » parce que consacré à Mozart (et ses contemporains), les interprètes qui ont participé à cette expérience en Drôme méridionale reviennent célébrer l’anniversaire. Ce sont donc en symphonique, chambrisme et solisme 13 concerts, notamment avec Michel Portal, Laurence Equilbey, Philippe Bernhold, Fazil Say, le Quatuor Debussy...
« Petit » Festival de fin juin pour préparer les plus « grands » : la 6e édition des Musiques de Beauregard propose 5 concerts, dont le domaine d’élection demeure baroque, qui sonne si bien et intimement dans le cadre de l’Orangerie.
Pour la 6e année, le festival initié à Bourget du Lac par Bernard Tétu veut faire découvrir au plus grand nombre la musique vocale contemporaine, en particulier dans son rapport au sacré. La présence « en résidence » de Philippe Hersant marque, entre autres, ces concerts et rencontres où les Solistes de Lyon,...
Une symphonie de Mahler, quoi de plus évident désormais dans le travail et pour le public d’un orchestre français ? Surtout s’il s’agit de la 5e, « Morte à Venise » comme chaque cinéphile le sait depuis Visconti. L’O.N.L. vient d’en donner (à Lyon, puis Lucerne et Paris) une interprétation de grande envergure, sous la direction inspirée de son chef, Jun Märkl. Le concerto pour violoncelle de Dvorak, avec Heinrich Schiff, soliste exemplaire, complétait ce programme post-romantique.
C’est avec une très agréable sensation d’urbanité un rien moqueuse qu’on est conduit à visiter le « bel édifice et sans les ressentiments », en 12 chapitres dont le 1er zoome sur le fameux « ça parle trop à F.Mu » en établissant distinguo entre Parleurs et Bavards, le 2nd sur « l’exception française »...
Petit festival qui, un peu dessus des bords de Saône et en amont de Lyon, ne se consacre pas au seul clavier, et entend donner leur place légitime aux jeunes solistes ou chambristes sous le regard de prestigieux interprètes (P.Cassard, F.Chaplin, F.F.Guy). Cette année, par 10 concerts sur deux week-ends, on interrogera le romantisme allemand et européen.
A l’Opéra-Théâtre de Saint-Etienne, le 8e Festival de Piano-Passion fait la fête de mai autour du clavier russe, depuis le Groupe des Cinq, avec partitions majeures (Les Tableaux de Moussorgski, Islamey de Balakirev, Réminiscences de Medtner), beaucoup de Prokofiev (la quasi-intégrale des Concertos) et 10 solistes de la jeune-inépuisable école russe...
A l’Opéra-Théâtre de Saint-Etienne, le 8e Festival de Piano-Passion fait la fête de mai autour du clavier russe, depuis le Groupe des Cinq, avec partitions majeures (Les Tableaux de Moussorgski, Islamey de Balakirev, Réminiscences de Medtner), beaucoup de Prokofiev (la quasi-intégrale des Concertos) et 10 solistes de la jeune-inépuisable école russe...