Festival de Verbier (Valais, Suisse) 17e édition 2010. Du 16 juillet au 1er août. Cette fois, il n’y a plus de Tour de France, de contre la montre et aucun jour de repos cycliste,…ni d’ailleurs musical ! La musique règne pendant une quinzaine à Verbier, et les concerts à vaste public installés dans la grande salle de Médran s’installent au bas de la station, en l’espace des Combins à infrastructure polyvalente.
La formule-Orange est immuable sous le haut Mur antique. Et très XIXe, comme il se doit, bien qu’une certaine Tosca ait été créée en 1900 : il faut honorer ses fastes dramaturgiques, et tâcher d’atteindre à sa dimension mythique. Mireille de Gounod, évidemment moins ambitieuse, est ici dans son cadre provençal,...
12e édition de ce festival « début d’été », centré sur l’Ardèche – le long du fleuve-dieu rhodanien, les garrigues, la montagne cévenole -, et qui s’articule autour d’un travail de formation supérieure des instrumentistes en formation de chambre. Les « Debussy », fondateurs-directeurs, inscrivent cette année deux thématiques : la musique tchèque, et les cordes graves (violoncelle, contrebasse). Non sans contrepointer les propos graves de certains concerts par des fantaisies instrumentales détend
Festival « Les Cordes en ballade », 12e édition, 2010. Musique tchèque, violoncelle, contrebasse. Divers lieux d’Ardèche (07), du 2 au 14 juillet 2010
12e édition de ce festival « début d’été », centré sur l’Ardèche – le long du fleuve-dieu rhodanien, les garrigues, la montagne cévenole -, et qui s’articule autour d’un travail de formation supérieure des instrumentistes en formation de chambre. Les « Debussy », fondateurs-directeurs, inscrivent cette année deux thématiques : la musique tchèque,
Ensemble Céladon à Lyon parmi les Tissus... Les lieux où est donnée la musique ancienne ne sont pas indifférents : à Lyon, le Musée des Tissus et des Arts Décoratifs constitue un cadre idéal, d’autant qu’il abrite un clavecin XVIIIe de Donzelague, remarquablement restauré. Les concerts n’y sont plus fréquents comme naguère, et celui d‘un duo de l’Ensemble Céladon (Paulin Bündgen, Caroline Huynh) aura enchanté en voyage européen les auditeurs privilégiés de ce dimanche matin…
La Chapelle baroque lyonnaise de la Trinité partageant son espace visuel et sonore entre un Te Deum de Lully et des Noubas ou Malhoun de la tradition marocaine : voilà le joli spectacle musical qui a fait se côtoyer et par moments fusionner le Concert de l’Hostel-Dieu et l’Ensemble Jossour.
Sait-on bien que Schumann a mené à bon port la composition d’un opéra, et que de cette Genoveva – sur thématique de passions amoureuses médiévales -, il attendait que fût reconnue sa vocation à défendre et illustrer l’ opéra national allemand ? Les occasions d’écouter cette œuvre sont, du moins en France, fort rares,...
C’est la 5e session de ce Festival-début-juin, et les Pianissimes se consacrent en 2010 à ce qu’a vu le vent d’est, qui porte aussi les harmoniques d’une Année France-Russie. En 6 concerts, Chopin, Liszt, Dvorak, Moussorgski, Scriabine, Rachmaninov ou Prokofiev, dans un parc sur les hauteurs de la rive droite de Saône et à quelques encablures septentrionales des ports et quais lyonnais…
Le Festival du Haut-Jura, fondé il y a un quart de siècle autour de Saint-Claude, rayonne sur les départements français du Jura, du Doubs et de l’Ain, mais aussi sur le versant suisse, en des lieux chargés d’histoire et de beautés archéologiques. Sa dominante est cette année autour de la dynastie familiale Bach...
On a tellement dit que Schumann n’était pas un bon symphoniste…alors, son opéra ! Vous avez dit : opéra ? Oui, le seul qu’il ait mené à bon port : Genoveva, ici donné dans sa version de concert. Et en cette année d’anniversaire-naissance, voilà une superbe occasion de nuancer les jugements tout faits sur le compositeur qui, en 1849, et à travers une légende médiévale lance un regard d’une beauté troublante sur l’amour toujours menacé.