CD Ă©vĂ©nement, compte rendu critique. Mondonville : Grands Motets. György Vasgheyi (2 cd Glossa, 2015). Le geste des baroqueux essaime jusquâen Hongrie : György Vashegyi est en passe de devenir par son implication et la sĂ»retĂ© de sa direction, le William Christie Hongrois⊠Câest un dĂ©fricheur au tempĂ©rament gĂ©nĂ©reux, surtout Ă la vision globale et synthĂ©tique propre aux grands architectes sonores. Câest aussi une affaire de sensibilitĂ© et de goĂ»t : car le chef hongrois goĂ»te et comprend comme nul autre aujourdâhui, Ă lâĂ©gal de nos grands Baroqueux dâhier, la subtile alchimie de la musique française.
György Vashgyi, maßtre du Baroque Français
Artisan dâun Mondonville plus dĂ©taillĂ©, clair que dramatique, le chef hongrois affirme lâĂ©loquence rĂ©jouissante de son geste : un nouvel accomplissement Ă Budapest.

LE BAROQUE FRANCAIS : UNE PASSION HONGROISE. György Vashegyi a ce sens du verbe et de la clartĂ© semblable aux pionniers indĂ©modables⊠Il se passe Ă©videmment plusieurs Ă©vĂ©nements intĂ©ressants en Hongrie et Ă Budapest : depuis quelques annĂ©es, chacun de ses enregistrements est attendu et lĂ©gitimement saluĂ© (Ă©ditĂ© par Glossa : son dernier Rameau, un inĂ©dit Les FĂȘtes de Polymnie, a remportĂ© le CLIC de classiquenews 2015 pour lâannĂ©e Rameau, de loin le titre le plus convaincant avec celui de lâensemble ZaĂŻs / Paul Goussot et BenoĂźt Babel, autre CLIC de classiquenews Ă©ditĂ© par PARATY)⊠Mais ici, aprĂšs la furie intensive et sensuelle de
Rameau, le chef et ses Ă©quipes (choeur Purcell et orchestre sur instruments anciens Orfeo) sâattaque Ă un sommet de la ferveur chorale et lyrique du XVIIIĂš, les Grands Motets de Mondonville. Le compositeur est lâun des plus douĂ©s de sa gĂ©nĂ©ration, un dramaturge nĂ©, un virtuose du drame, maniant et cultivant la virtuositĂ© Ă tous les niveaux : solistes, choeurs, orchestre. Son Ă©criture fulmine, tempĂȘte, sâexclame mais avec un raffinement sonore, une Ă©lĂ©gance instrumentale inouĂŻe propre aux annĂ©es 1730 et 1740. De fait ses Grands Motets dâabord destinĂ©s aux cĂ©lĂ©brations purement liturgiques Ă Versailles, ont Ă©tĂ© ensuite repris Ă Paris dans la salle du Concert Spirituel, piliers dâune programmation particuliĂšrement applaudie par les auditeurs du XVIIIĂš (virtuositĂ© ciselĂ©e du rĂ©cit Exultabunt pour basse et violoncelle solo, digne dâun JS Bach !). VOIR notre reportage vidĂ©o Györgyi Vashegyi ressuscite Les FĂȘtes de Polymnie Ă Budapest (2014, avec Mathias Vidal et VĂ©ronique Gens, pour l’anniversaire Rameau / 250 Ăšme anniversaire).
Ici, György Vashegyi sâattaque Ă 4 dâentre eux, parmi les plus ambitieux, vrais dĂ©fis en expressivitĂ©, Ă©quilibrage, dynamique globale : les plus connus tels Nisi Dominus (1743), et De Profundis (1748), et les plus rares voire inĂ©dits : Magnus Dominus (1734, donc contemporain des Grands Motets de Rameau) et surtout Cantate Domino de 1742 (la rĂ©vĂ©lation du prĂ©sent double album). Le chef hongrois complĂšte astucieusement lâapport premier, fondateur de William Christie (qui dĂ©voilait les Dominus Regnavit, In Exitu Israel, De Profundis⊠dĂšs 1996). 20 ans plus tard, György Vashegyi affirme une lecture habitĂ©e, personnelle particuliĂšrement convaincante qui touche par son Ă©tonnante cohĂ©rence et sa suavitĂ© comme son dramatisme millimĂ©trĂ©s.

Evidemment dâemblĂ©e cette lecture nâa ni la classe ni le souffle Ă©lĂ©gantissime dâun William Christie, – artisan inĂ©galĂ© pour Rameau ou Mondonville dont il a ressuscitĂ© les Grands Motets il y a donc 20 ans dĂ©jĂ . Pourtant⊠ce que rĂ©alise le chef hongrois György Vashegyi relĂšve du ⊠miracle, tout simplement. Câest une passionnante relecture des Grand Motets Ă laquelle il nous invite :  une interprĂ©tation qui convainc par sa sincĂ©ritĂ© et aussi sa franchise, Ă©vitant tout ce que l’on retrouve ordinairement chez les autres chefs trop verts ou trop ambitieux et souvent mal prĂ©parĂ©s : instabilitĂ©, maniĂ©risme, sĂ©cheresse, grandiloquence… A contrario de tout cela, lâex assistant de Rilling ou de Gardiner possĂšde une Ă©loquence exceptionnelle des ensembles – orchestre, choeur, solistes ; une conscience des Ă©quilibres et des Ă©tagements entre les parties qui rĂ©vĂšle et confirme une Ă©tonnante pensĂ©e globale, une vision dâarchitecte. Le sentiment qui traverse chaque sĂ©quence, le choix des solistes dont surtout les hommes sâavĂšrent spĂ©cifiquement convaincant : le baryton Alain Buet (partenaire familier des grandes rĂ©surrection baroques Ă Versailles) incarne une noblesse virile et une fragilitĂ© humaine, passionnante Ă suivre ; le tĂ©nor (haute-contre) Mathias Vidal qui sait tant frĂ©mir, projeter, prendre des risques aussi tout en sculptant le verbe lyrique français, Ă©blouit littĂ©ralement dans lâarticulation tendre des textes latins : chacune de ses interventions par leur engagement individualisĂ© et le souci de lâĂ©loquence, est un modĂšle du genre ; lâimmense artiste est au sommet actuellement de ses possibilitĂ©s : il serait temps enfin quâon lui confie des rĂŽles dramatiques dans les productions lyriques digne de sa juste intuition.
Le chĆur Purcell dĂ©montre Ă chaque production ou enregistrement initiĂ© par le chef, une science de la prĂ©cision collective, Ă la fois autoritaire, des plus sĂ©duisantes⊠sans pourtant ici atteindre au chatoiement choral des Arts Flo (inĂ©galĂ©s dans ce sens).
Souvenons nous de leur IsbĂ©, somptueux opĂ©ra du mĂȘme Mondonvile, ressuscitĂ© en mars dernier (2016), dĂ©couverte absolue et rĂ©jouissante et chef dâoeuvre lyrique quâil a fallu Ă©couter jusquâĂ Budapest pour en mesurer lâĂ©clat, le raffinement, lâoriginalitĂ© (qui prĂ©figure comme chez Rameau, la comĂ©die musicale française Ă venirâŠ). LâopĂ©ra donnĂ© en version de concert a Ă©tĂ© lâune des grandes rĂ©vĂ©lations de ces derniĂšres annĂ©es.
De toute Ă©vidence, la sensibilitĂ© du chef György Vashegyi dispose Ă Budapest dâun collectif admirablement inspirĂ©, avec propre Ă sa direction, une exigence quant Ă la clartĂ©, Ă une absolue sobriĂ©tĂ© qui fouille le dĂ©tail, au risque parfois de perdre le souffle et la tension⊠sans omettre la caractĂ©risation, moins contrastĂ©e moins spectaculaire et profonde que chez William Christie qui faisait de chaque Ă©pisode une peinture dâhistoire, un drame, une cosmogonie humaine dâune tenue irrĂ©sistible, dâune gravitĂ© saisissante.
Cependant la lecture de György Vashegyi dĂ©ploie de rĂ©elles affinitĂ©s avec la musique baroque française ; dâHelmut Rilling, il a acquis une prĂ©cision impressionnante dans lâarchitecture globale ; de Gardiner, un souci de lâexpressivitĂ© juste. Les qualitĂ©s dâune telle vision savent ciseler le chant des instruments avec une grande justesse poĂ©tique : car ici la virtuositĂ© de lâorchestre est au moins Ă©gale Ă celle des voix. âšLes spectateurs et auditeurs Ă la Chapelle royale de Versailles le savaient bien, tous venaient Ă l’Ă©glise Ă©couter Mondonville comme on va Ă lâopĂ©ra. Le drame et le souffle manquent parfois ici, – point faible qui creuse lâĂ©cart avec Les Arts Flo, en particulier dans les choeurs fuguĂ©s : Requiem aeternam du De Profundis de 1748, un peu faible – mais tension redoublĂ©e, davantage exaltĂ©e du Gloria Patri dans le Motet de 1734.
Cependant Ă Budapest, lâesthĂ©tique toute en retenue, mettant surtout le français au devant de la scĂšne, se justifie pleinement, en cohĂ©rence comme en expressivitĂ©. Vashegyi sait construire un Ă©difice musical dont la ferveur, la cohĂ©sion sonore et le feu touchent ; comptant par lâengagement de ses solistes particuliĂšrement impliquĂ©s, soignant chacun leur articulation âŠRĂ©serve : dommage que la haute-contre Jeffrey Thompson manque de justesse dans ses aigus souvent dĂ©timbrĂ©s et tirĂ©s : Ă cause de ses dĂ©faillances manifestes, le chanteur est hors sujet et déçoit considĂ©rablement dĂšs son grand rĂ©cit avec choeur : Magnus Dominus, dĂ©but du Magnus Dominus de 1734 ; surtout dans son rĂ©cit avec choeur : Laudent nomen ejus ... en totale dĂ©route et faillite sur le plan de la justesse ; il aurait fallu reprendre en une autre session ce qui relĂšve de lâamateurisme. Erreur de casting qui revient Ă la supervision artistique de lâenregistrement.
ORCHESTRE SUPERLATIF. Heureusement ce que rĂ©alise le chef Ă lâorchestre saisit par sa prĂ©cision et lĂ encore, son sens des Ă©quilibres (hautbois accompagnant le dessus dans la section qui suit). Confirmant un dĂ©faut principal dĂ©jĂ constatĂ© dans ses prĂ©cĂ©dentes gravures, Chantal Santon nâarticule pas – mĂȘme si ses vocalises sont aĂ©riennes et dâune fluiditĂ© toute miellĂ©e ; la Française ne partage pas cette diction piquante qui fait tout le sel de sa consĆur Daniela Skorva, ex laurĂ©ate du Jardin des voix de William Christie (sĂ»retĂ© idĂ©ale du Quia beneplacitum du Cantate Dominum). Le meilleur dramatique et expressif du choeur se dĂ©voile dans la rhĂ©torique maĂźtrisĂ©e du choeur spectaculaire « Ipsi videntesâŠÂ » : acuitĂ© perçante du choeur et surtout agilitĂ© prĂ©cise de lâorchestre. Lâun des apports de lâalbum tient au choix des Motets : ce Magnus Dominus de 1734, est le moins connu ; dans lâĂ©criture, moins spectaculaire que les autres (malgrĂ© lâIpsi videntes prĂ©cĂ©demment citĂ© et sa fureur chorale), ne dĂ©ployant pas ce souffle expressif dâune sĂ©quence Ă lâautre.
DEFIS RELEVĂS. La plus grande rĂ©ussite sâimpose dans les deux Motets du cd2 : Cantate Domino (1742) et Nisi Dominus (1743). Le geste sâimpose Ă lâorchestre : ample, suave, dâune articulation souveraine (dĂ©but du Nisi ; intĂ©rioritĂ© calibrĂ©e dans Cantate Domino et le solo de violoncelle de lâexaltabuntâŠ). Vocalement, il est heureux que le chef ait dĂ©fendu lâoption de solistes français car ici câest la langue et sa dĂ©clamation naturelle qui articulent tout lâĂ©difice musical. Le sens du verbe, lâintelligence rhĂ©torique et discursive, la mise en place se distinguent indiscutablement. Et jusque lĂ instable, la haute-contre Jeffrey Thompson reprend le dessus avec un panache recouvrĂ© dans la tenue prosodique hallucinante de lâultime Ă©pisode de Cantate Domino. Le Trio du mĂȘme motet sâimpose comme une autre rĂ©vĂ©lation : 3 voix tĂ©moins qui touchent par leur humanitĂ© terrassĂ©e (Ad Alligandos Reges – expression de la force des Ă©lus de Dieu-, dont lâexpressivitĂ© Ă trois, sonne comme un temps dramatique suspendu dâun profondeur inĂ©dite).
ARDENT, PERCUTANT MATHIAS VIDAL. Dans le Nisi Dominus, on ne saurait trop souligner la justesse stylistique des deux solistes dans ce sens, Alain Buet et Mathias Vidal, dont lâassise et lâexpressivitĂ© mesurĂ©e alliĂ©es Ă un exemplaire sens du verbe apportent un Ă©clairage superlatif sur le plan de lâincarnation : la couleur et le timbre font de chacun de leur rĂ©cit non pas une dĂ©claration/dĂ©clamation sophistiquĂ©e et pĂ©dante, mais un tĂ©moignage humain, fortement individualisĂ©, Ă©clat intĂ©rieur et drame intime que ne partagent absolument pas leur partenaires, surtout fĂ©minins (autant de caractĂšre distincts qui font dâailleurs lâattrait particulier du duo dessus / basse-taille et choeur du « Vanum est vobis »). Le rĂ©cit pour haute-contre : « Cum delectis » affirme la maĂźtrise stupĂ©fiante de MATHIAS VIDAL dans la caractĂ©risation, lâĂ©loquence, lâarticulation, le style. Le chanteur diffuse des aigus tenus, timbrĂ©s, mordants dâune intensitĂ© admirable. Certes acide parfois (ce que nous apprĂ©cions justement par sa singularitĂ© propre), le timbre du Français projette le texte avec une franchise et une clartĂ© exemplaire (« merces fructus ventris »âŠ), trouvant un Ă©quilibre idĂ©al entre drame et ferveur : Mathias Vidal mord dans chaque mot, en restitue la saveur gutturale, le jeu des consonnes avec une rare intelligence⊠expression la plus juste dâun texte de certitude qui cĂ©lĂšbre la gĂ©nĂ©rositĂ© divine ; Ă ses cĂŽtĂ©s, chef et orchestre offrent le meilleur dans cette vision lumineuse, prĂ©cise, dâune architecture limpide et puissante. Toute la modernitĂ© Ă©ruptive et spectaculaire de Mondonville Ă©clate littĂ©ralement dans le choeur « Sicut sagittae » dont le chef fait un duo passionnant entre chanteurs (droits, sĂ»rs, lĂ aussi dâune prĂ©cision collective parfaite) et orchestre. Plus habitĂ© et sĂ»r sur le plan de la justesse, Jeffrey Thompson – qui a chantĂ© sous la direction de William Christie dans le motet In Convertendo (absent du prĂ©sent coffret), convainc davantage (moins exposĂ© dans les aigus) dans le Non confundetur final, qui nâest que verbe et travail linguistique, un prolongement du gĂ©nie du Rameau de PlatĂ©e. Chef, chanteurs, instrumentistes prennent tous les risques dans cette sĂ©quence oĂč ils se lĂącheraient presque, alliant souffle et majestĂ©, deux qualitĂ©s qui faisaient la rĂ©ussite des Arts Flo.
COMPLEMENT ESSENTIEL. VoilĂ donc un coffret qui complĂšte notre connaissance des Grands Motets de Mondonville, rĂ©vĂ©lant la science dramatique et fervente de deux opus moins connus : Magnus Dominus de 1734 et Cantate Domino de 1742. Une lecture superlative malgrĂ© les petites rĂ©serves exprimĂ©es. De toute Ă©vidence, câest le goĂ»t et la mesure du chef György Vashegyi qui sâimposent ici par son intelligence, sa probitĂ©, sa passion de la clartĂ© expressive. DĂ©sormais Ă Budapest rĂšgne une comprĂ©hension exceptionnelle du Baroque Français : câest le fruit dâun travail spĂ©cifique dĂ©fendu par un connaisseur passionnant. Superbe rĂ©alisation qui rend justice au gĂ©nie de Mondonville. NâhĂ©sitez plus, sâil vous manquait un argument ou un prĂ©texte pour un prochain sĂ©jour Ă Budapest, profitez dâun concert du chef György Vashegyi au MUPA (salle de concerts nationale) pour visitez la citĂ© hongroise, nouveau foyer baroque Ă suivre absolument. CLIC de CLASSIQUENEWS de mai 2016.
CD, compte rendu critique. Mondonville : Grands Motets. György Vasgheyi. 2 cd Glossa GCD 923508 – DurĂ©e : 43:20 + 52:47 – Enregistrement Ă Budapest (BĂ©la BartĂłk National Concert Hall, MĂPA), Hongrie, les 2-4 novembre 2015. TrĂšs bonne prise de son, claire, aĂ©rĂ©e, respectant lâĂ©quilibre soistes, choeurs, orchestre dĂ©fendu dans son geste et son esthĂ©tique par le chef hongrois, György Vashegy. Un prochain concert Ă Versailles est annoncĂ© au second semestre 2016, prochain Ă©vĂ©nement au concert prĂ©sentĂ© par ChĂąteau de Versailles spectacles. A suivre prochainement sur classiquenews.com
JEAN-JOSEPH DE MONDONVILLE : Grands Motets
CD I
De profundis (1748)
01 ChĆur: De profundis clamavi
02 Récit de basse-taille: Fiant aures
03 Récit de haute-contre: Quia apud te propitiatio
04 ChĆur: A custodia matutina
05 Récit de dessus: Quia apud Dominum
06 RĂ©cit de dessus et chĆur: Et ipse redimet IsraĂ«l
07 ChĆur: Requiem ĂŠternam
Magnus Dominus (1734)
08 RĂ©cit de haute-contre et chĆur: Magnus Dominus
09 Récit de dessus: Deus in domibus ejus cognoscetur
10 ChĆur: Ipsi videntes sic admirati sunt
11 Récit de dessus: Secundum nomen tuum
12 RĂ©cit de dessus et chĆur: LĂŠtetur mons Sion
13 Duo de dessus: Quoniam hic est Deus
14 ChĆur: Gloria Patri
CD II
Nisi Dominus (1743)
01 Récit de basse-taille: Nisi Dominus
02 Duo de dessus et basse-taille et chĆur: Vanum est vobis
03 Récit de haute-contre: Cum dederit dilectis
04 ChĆur: Sicut sagittĂŠ
05 Duo de basses-tailles: Beatus vir
06 Air de basse-taille et chĆur: Non confundetur
Cantate Domino (1742)
07 ChĆur: Cantate Domino
08 Duo de dessus: LÊtetur Israël
09 Récit de haute-contre: Adorate et invocate
10 RĂ©cit de haute-contre et chĆur: Laudent nomen ejus
11 Récit de dessus: Quia beneplacitum
12 Récit de basse-taille: Exultabunt sancti in gloria
13 ChĆur: Exaltationes Dei
14 Trio de dessus, haute-contre et basse-taille: Ad alligandos Reges
15 ChĆur: Gloria Patri
16 Duo de haute-contre et basse-taille et chĆur: Sicut erat in principio
â
Chantal Santon-Jeffery, dessus
Daniela Skorka, dessus
Mathias Vidal, haute-contre
Jeffrey Thompson, haute-contre
Alain Buet, basse-taille
Purcell Choir
Orfeo Orchestra
György Vashegyi, direction musicale
Approfondir
Retrouvez le ténor Mathias VIDAL :
La Finta Giardiniera (Belfiore) Ă lâOpĂ©ra de Rennes
30 mai – 7 juin 2016
Les Indes Galantes de Rameau (Don Carlos, Damon)
Ivor Bolton, direction
OpĂ©ra dâĂ©tat de BaviĂšre, Munich
les 24, 26, 27, 29 et 30 juillet 2016
Le Carnaval de Venise, Campra.
Prague, le 4 août
MATHIS VIDAL en vidéo
Gala Lully Ă la Galerie des Glaces de Versailles
Production ChĂąteau de Versailles Spectacles
Cantates pour le Prix de Rome de Max dâOllone (2013)
Atys de Piccinni : répétitions
Atys de Piccinni : représentations (2012) -reportage vidéo © studio CLASSIQUENEWS 2012
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