vendredi 29 mars 2024

Verbier festivalDu 20 juillet au 5 août 2012

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Festival de Verbier 2012
Du 20 juillet au 5 août 2012

Verbier voyait naître il y a dix-neuf ans un festival valaisan d’altitude (1500 m.) dans une station dont l’été se mit à retentir de grandes sonorités classiques, romantiques et modernes. 2012 offre à nouveau une belle quinzaine, autour des Orchestres du Verbier Festival Orchestra – les jeunes de l’avenir, guidés par des chefs prestigieux -, à l’écoute d’artistes de toutes générations, dont certains sont devenus des « autorités de tutelle affective » et d’autres éprouvent les forces neuves de leur talent. Comme dans les sessions récentes, l’opéra en version de concert est un des axes décisifs : le Pelléas de Debussy et Les Noces de Mozart scintillent au crépuscule des paysages…

Le Citoyen de Genève

« Y aura-t-il de la neige en juillet ? » Sera-ce au contraire l’un de ces étés qui vous étouffent en vallée, où la raisonnable altitude en alpages apaise délicieusement la vie quotidienne ? A pareille distance chronologique, quand nous écrivons ces lignes, et même avec le secours de proverbes valaisans ou des technologies de la météo contemporaine, nous n’avons nulle permission d’éclairer l’auditeur… Alors restons dans le Temps, mais au contraire d’une anticipation courte, regardons dans le rétroviseur historique. Nous sommes en Suisse, n’est-ce pas, et dans le canton du Valais, pas si loin d’un Lac où Genève, il y a 300 ans, vit naître un certain Citoyen, futur Grand Wanderer pour le reste de sa vie… Et dont à part d’œuvres « lyriques » peut-être oubliables (une adaptation du Devin de Village…à Verbier eût sans doute été amusante ?), l’écriture aura été l’une des musiques les plus décisives du XVIIIe et ensuite. Jean- Jacques (Rousseau) eût trouvé le climat festivalier un rien tumultueux, sinon mondain, mais il eût pu s’y soustraire en allant herboriser « plus haut », et même aller y « boire le lait de nos vaches », comme le lui conseillait Voltaire… Festivaliers, ayez une pensée pour lui, et partez (re ?) lire au calme ses Rêveries du Promeneur Solitaire !

Histoire d’un vilain petit bruit

Mais songeons à d’autres anniversaires. Massenet (100e de la mort) ? Pas tellement le domaine Verbier. Pas plus que Gabrieli (400e). Côté naissance, on signale le 100e de John Cage : mais la seule évocation d’un « scenic » de 4’33 pourrait faire frémir maint festivalier traditionnel (il en existe, ne me contredisez pas systématiquement !). Mais en gloire et choix légitimes, voici Claude-Achille, 150e de la naissance. Et célébré par la partition-fétiche, ce Pelléas et Mélisande qui révolutionna l’histoire de l’art lyrique. En plein cœur du symbolisme, une histoire d’amour tragique, « Eros-et-Thanatos » par essence, prolongeant à sa façon, moins hautainement légendaire et philosophique, le Tristan et Isolde wagnérien. Plus proche de chacun d’entre nous, aussi, car immémorialement simple – « je t’aime … je t’aime aussi… tu dis cela d’une voix qui vient du bout du monde… » -, et témoin en langue française de noces par mélodie infinie entre Musique et Verbe. Sans oublier ce qu’en disait il y a 110 ans Camille Bellaigue (« peu de bruit, mais un vilain petit bruit »), ce qui peut amener à relativiser la foi en la critique patentée…. Charles Dutoit conduit l’Orchestre du Festival et son enthousiaste jeunesse ; Golaud porte l’expérience douloureuse de José Van Dam, et les deux amants en découverte d’extase sont de « jeune génération », la blonde Magdalena Kozema, le brun Stéphane Degout. On complétera ce portrait par de l’instrumental-piano, qui synthétise tant les images : l’art du « ramiste » Alexandre Tharaud dans le 1er Livre des Préludes, et plus loin Reflets, Mouvement, La Soirée dans Grenade. En miroir, le rival-admirateur Ravel adapte sa scène tragique européenne de la Valse, et virevolte follement en Tzigane. Le jeune Fauré n’est pas loin, avec sa Ballade op.19, ni même le si brillant Saint-Saëns (1er concerto de violon, Havanaise et Rondo…)

Goûts et réserves du petit Bussik

Le «petit Bussik » – ainsi l’appelait Madame von Meck lorsque le jeune Français « tapait le clavier » chez cette grande prêtresse russe de Tchaikovski (et il n’aimait pas cette musique-là, Bussik, mais il faut bien vivre !) est à Verbier « accompagné » de ses contemporain , aînés ou cadets. Et justement Piotr-Illitch (T.) est là, le symphoniste dramaturgique ( la 5e), une Sérénade, et en chambre, outre son 1er Quatuor, le sublime Trio op.50, à la mémoire du compositeur Rubinstein, et Tombeau du Romantisme, au piano soliste, la Grande Sonate (E.Leonskaja ..). Une soirée très tchèque (29 juillet), avec deux Dvorak (dont le magnifique Quintette op.81), Smetana (le Trio avec piano), Martinu (Madrigaux) et Janacek (Pohadka). Martinu encore, ailleurs, de même que Janacek… Dvorak TGP,Très Grand Public) avec la toujours adorée 9e Symphonie (Nouveau Monde), conduite par Neeme Järvi. Et encore des Russes, de situation « intermédiaire » dans la chronologie XIXe-XXe, pas forcément si connus : Tanaiev (Quintette, Prélude et Fugue pour piano) ou Medtner (un antimoderniste, dont la Sonate « Reminiscenza » est délicieuse ouverture de la boîte à souvenirs, avec une « petite phrase »-leimotiv fort convenable pour Swann dans la Recherche du Temps Perdu). Ce n’est évidemment pas le cas de Moussorgski, dont Les Tableaux seront une fois encore en Exposition (la jeune pianiste Sara Ott). Et Dieu sait que le petit Bussik l’admirait, celui-là !

Brahms le bien-aimé

On ne saurait en dire autant pour les grands massifs du symphonisme fin XIXe : une 7e de Bruckner (l’Orchestre Festival dirigé par un 2nd Järvi, Paavo, en alliance logique avec des extraits wagnériens Tétralogiques, chantés par René Pape). Ou Mahler, dont la 4e est dirigée par D.Harding. Ni bien sûr pour un Brahms, toutes époques confondues, ici toujours très fêté (14 partitions cette année encore !). A l’orchestre, la 4e symphonie (M.Honeck), le double concerto (par la fratrie Capuçon), le concerto de violon (Christian Tetzlaff) ; beaucoup de musique de chambre : 1er et 3e Quatuors, le crépusculaire Quintette avec clarinette, des sonates violon et violoncelle/piano, le 2nd Sextuor. Et pour le piano soliste : 3e Sonate, les jeunes-romantiques Variations op.9 répondant aux lumières sombres de l’op.116. « Contre cette tradition », la musique de l’avenir pour le XIXe : Liszt l’Européen, en post-anniversariat, n’est certes pas absent au clavier : Mephisto-Valse, Jeux d’eaux à la Villa d’Este, Variations sur un choral de Bach, et la grandiose Vallée d’Obermann traversée pendant le Ier Livre(Suisse) des Pèlerinages…

Gloire du Winterreise

Romantisme plein et entier ? Une petite 3e Symphonie pour Mendelssohn, le Quintette pour clarinette et une Ouverture chez Weber, et Schumann plus panoramique : des tout jeunes Papillons qui voltigent aux intuitions mémorielles si émouvantes des Scènes d’enfants, de quoi comparer deux versions des Etudes Symphoniques (des Russes si différents, D.Matsuev et A.Melnikov), et le superbe Quatuor avec piano (op.47). Chopin est lui aussi plus qu’entrevu : si modernes Etudes (le jeune prodige D.Trifonov), Préludes, âme du rêve ardent (D.Kadouch), et dans l’écrin orchestral, les Concertos : le 1er par la glorieuse Martha Argerich, le 2nd par D.Trifonov. Et 3 Scherzi, et la mouvante Barcarolle… Le doux Franz Schubert ? Le voici en gloire tragique du Winterreise : ce sera soirée de légende avec Christophe Prégardien et Menahem Pressler. A côté, autres éléments d’un portrait : la Sonate de piano D.850, la Fantaisie Wanderer, le 13e Quatuor. Beethoven n’est pas sacrifié, ni le symphoniste (la 5e et la 8e), ni le pianiste (L’Appassionata), ni surtout le chambriste : trois quatuors en une soirée, par les Hagen ( op.18/&, op.59/3, op.74), deux trios de jeunesse (op.1/1 et 3).

Corps et âmes se cherchent

Classicisme ? En lui, Mozart est multi-célébré, et d’abord par l’opéra des opéras, Les Noces de Figaro. Elles seront conduites par Paul Mac Creesh, et auront de jeunes interprètes à l’âge du rôle dans cet étourdissement de musique voluptueuse où corps et âmes se cherchent. De Wolfgang encore, la « petite(symphonie) en sol mineur », si pré-romantique (25e,K.183), du chambrisme (l’admirable et austère Trio-Divertimento K.563, le Quatuor K.465, « Les Dissonances », la sonate violon-piano K.454. Et plus avant en baroquie (sans trop de baroqueux, sauf M.Suzuki dirigeant la 1ère Suite pour orchestre), J.S.Bach : les Variations Goldlberg au piano, et une transcription par l’altiste – si inventif – Antoine Tamestit de 3 suites pour violoncelle. De même, Domenico Scarlatti, avec le piano inspiré d’Alexandre Tharaud. Et sur le chemin de la tradition revisitée, un Orfeo 55 de Nathalie Stutzmann (chanteuse et chef ) dans Vivaldi.

D’autres Russes

En revenant vers les horizons du XXe, on croisera Elgar, Ysaÿe, Albeniz, Turina, Respighi, Barber. Et chez les Russes que le Patron de Verbier, Martin Engström, aime tant, on ira de Rachmaninov (Etudes-Tableaux, Elégie, 2e sonate de piano) en Scriabine ( 5e sonate, Fantaisie op.28) puis Chostakovitch (Quintette, 13e Quatuor). Plus tard et de nos jours, un vieil ami du Festival, R.Shchedrin, dans une Romantic Offering (Micha Maisky, Martha Argerich). Histoire aussi de saluer la toute jeune compositrice anglaise (30 ans) Charlotte Bray, à qui Verbier a commandé The Invisible Cities (d’après Italo Calvino). De ne pas oublier non plus que Kurt Weill fut aussi symphoniste (la 2e), et que, comme lui exilé aux Etats Unis, Korngold écrivit un concerto pour violon.

Les sombres rivages

Mais nous abordons ainsi à de sombres rivages, et il faut saluer au programme de Verbier une initiative de haut intérêt. En posant d’abord une question-fiction. Que dirait-on – qu’aurait-on dit, très rapidement ! – si entre 1942 et 1945 avaient disparu dans l’enfer concentrationnaire des compositeurs comme Roussel, Auric, Poulenc, Honegger, Milhaud, Jolivet, Dutilleux ou Messiaen ? Et si cela s’était passé après qu’on les eût enfermés en quelque annexe de Pithiviers ou Beaune-la-Rolande, où ils eussent en plus été, par insigne faveur de l’occupant, « admis » à continuer de jouer, voire de composer ? Et même, en 1944, de servir de « vitrine-alibi » à un voyage guidé de la Croix-Rouge – ces visiteurs-là d’une insondable naïveté et d’un refus subconscient de ne rien comprendre à la perverse mascarade du « Führer qui offre une ville aux Juifs »- , avant qu’on n’entasse ces détenus dans des trains vers la mort ?

Entartete Musik

Et d’ailleurs les compositeurs Français eussent-ils été rangés sous la bannière infâmante de la « musique dégénérée » par un occupant inventeur d’une « entartete musik » ? Car dans ce concept – si on daigne user d’un terme philosophique noble pour désigner l’immonde fourre-tout des racistes nazis – étaient rassemblés autour d’un « noyau dur » de haine excluante – les Juifs – tous ceux qui écrivaient contre « la pureté du saint art allemand », et qui dès les années 1910, avaient été désignés comme tenants de tendances destructrices, puis assimilés avec la révolution russe, à un « bolchevisme » qui englobait le « chaos atonal ». Mais avec extension du côté des Tziganes, et de « l’américanisme », soit de ce que pratiquaient « là-bas » et cherchaient à introduire « ici » les adeptes du jazz, pratique de « nègres », donc d’une de ces « races inférieures » dont les « théoriciens » nazis allaient tracer les frontières autour d’une « aryanité » dominatrice du monde. Les lois de Nuremberg (1935)– avec leur définition « juridique » – allaient enclencher et encadrer la mécanique des actions et des crimes antisémites. Et aller de pair avec le « travail » dans le domaine de l’art : en 1937 est organisée une grande exposition d’ « art » (visuel) « dégénéré », visitée par des centaines de milliers d’Allemands. L’année suivante, à Düsseldorf, ce sont les musiciens de cette même « dégénérescence » – environ 200, selon les critères de Rosenberg, Ziegler et Goebbels – qui sont désignés en exposition à l’exécration publique ; par solidarité, le Hongrois Bela Bartok avait demandé l’honneur de figurer à ce sinistre banc d’infamie…

Le camp-ghetto de Terezin

« Mise hors d’état de nuire de 8.000 musiciens juifs ou métis » – édictée après les lois de Nuremberg – , publication (1940) d’un « dictionnaire des musiciens juifs », annonce en 1943 d’un « achèvement de la déjudéisation du monde musical allemand », et en 1941, ouverture au nord-ouest de Prague d’un « camp-ghetto » à Theresienstadt (Terezin), – en fait, camp de transit avant l’envoi « plus à l’est », notamment Auschwitz ,- où sont regroupés beaucoup d’intellectuels, artistes, de musiciens raflés notamment en Bohême-Moravie (le « protectorat » nazi sur les ruines de la Tchécoslovaquie) et en Autriche, puis en Hollande et Danemark…. Après hésitations, les autorités gardiennes du camp, permettent là des activités artistiques (théâtre, concerts) qui dans l’extrême dénuement général de la concentration (10 à 12 heures de travail journalier, sous-alimentation chronique, maladies) ont le mérite de « calmer ou dériver l’angoisse du transfert pour l’est », là où l’on devine sinon l’anéantissement (qui en fait a été décrété par le Reich en janvier 1942 à Wannsee), du moins une condition encore plus rude. Terezin, ce fut au total 140.000 déportés, 33.000 morts dans le camp, 87.000 envoyés à l’est d’où seulement 3.000 revinrent vivants.

Voix étouffées du IIIe Reich

C’est ainsi que le concert « Theresienstadt » du 22 juillet (prolongé avec une partition pour orchestre de Schulhoff , le 24) dans le paradis estival de Verbier a une résonance et une importance particulières. On s’y souviendra, en écoutant les œuvres de musique de chambre de six parmi les créateurs « tereziniens », que trop longtemps après la fin du cauchemar nazi cette musique « dégénérée » fut « oubliée en une seconde mort » . Des Fondations – ainsi celle de « Terezin-Musique de chambre -, des collections de disques (telle Decca, à partir des années 1995), en France les efforts inlassables d’un chef et compositeur comme Amaury du Closel pour faire revivre en Forum « les voix étouffées du IIIe Reich » ( c’est le titre de son livre passionnant, paru en 2005 chez Actes-Sud ), des concerts, des émissions, d’autres enregistrements ont enfin contribué à lever le voile.

Quand les souffrances finiront-elles ?

Ainsi, l’hiver dernier, a eu lieu le Festival Strasbourgeois CEMUT (Centre Européen d’Etude de la Musique et du Totalitarisme). On voit aussi sur scène des opéras, en particulier Brundibar, écrit pour les enfants par Hans Krasa, et L’Empereur d’Atlantis, composé et créé à Terezin par Viktor Ullmann. On entendra ici des partitions de Hans Krasa, Erwin Schulhoff (mort, lui, de tuberculose en 1942 à Wülzbourg, où cet opposant politique avait été interné), de leur cadet Gideon Klein, considérés dans leur pays et de leur vivant comme musiciens très importants, des encore moins connus Ilse Weber, Adolf Strauss, et Carlo Siegmund Taube. Les styles en sont évidemment un kaléidoscope de création européenne, selon les personnalités et leur parcours, entre post-romantisme expressionniste, debussysme, folklore imaginaire, intégration du jazz, modernisme atonal, dodécaphonisme, et d’autres voies qui restaient à explorer chez ces quadragénaires ou trentenaires dont la mort précoce fut criminellement organisée. « Quand les souffrances finiront-elles ? Quand serons-nous libres à nouveau ? » interroge par une mélodie Ilse Weber, qui, elle non plus, ne revint pas d’Auschwitz. Et Viktor Ullmann : Notre volonté de culture est conforme à notre volonté de vivre. » « Une bonne partie de cette musique « dégénérée » est encore terra incognita, écrit en conclusion de son livre A.du Closel. Le travail d’évaluation se poursuit. Le deuil en dépend. »

In, off et autrement

Après ce devoir de découverte dans la gravité, on aura plaisir à se diriger vers des « mal classables », parfois aux frontières des genres : ainsi le jeune violoniste franco-serbe Nemanja Radulovic, ici accompagné du pianiste très « verbiérien » Julien Quentin, propose « Les Trilles du diable », un programme de haute virtuosité sous l’invocation de Tartini. Son cousin tzigane Roby Lakatos, de retour aux alpages « with friends » de son groupe, voltige entre jazz, mélodies de la terre hongroise et classique. Nettement plus à l’ouest, le Pink Martini (12 musiciens), explore du côté de la danse cubaine années 30, la fanfare de batucada brésilienne et l’ambiance d’un film noir japonais. Joli titre, « A lesson in love », pour un duo de mélodies allemandes, anglaises, américaines et françaises, entre la soprano Kate Royal et le grand pianiste- accompagnateur Malcom Martineau. La fille – Anoushka – du légendaire Ravi Shankar mêle pour une épopée musique classique indienne et flamenco. Et puis on ira suivre des classes de maître ouvertes au public, du côté de chez Alfred (Brendel), Menahem (Pressler) , Dimitri (Bashirov),Thomas (Quasthoff), là où l’humour et l’enthousiasme de toujours jeunes aînés font merveille pour la formation des stagiaires et du public… Sans omettre d’aller écouter le travail du Verbier Festival Amateur Chamber, les propositions très éclectiques du Festival Discovery, les concerts de l’ultra-soir à l’Eglise par les jeunes chambristes du Festival Orchestra, ni bien sûr les joyeuses musiques de rues, promenades en jazz et autrement du côté d’un off très inventif…

Festival de Verbier (Valais, Suisse), du vendredi 20 juillet au dimanche 5 août 2012. 51 concerts (Salle des Combins, Eglise), animations, « off », classes de maître, randonnées culturelles, émissions en public, rencontres… Information et réservation : T. 41 (0) 848 771 882 et 883 ; www.verbierfestival.com

Découvrez tout le programme sur le site Internet ww.verbierfestival.com . L’ouverture de
la billetterie au grand public est effective le 12 mars 2012. Pour
bénéficier de la prévente exclusive, rendez-vous sur www.verbierfestival.com/amis.

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