Das Neue Orchester. Christoph Spering, direction (1/2)

La partition est l’une des plus personnelles du compositeur, dévoilant une foi profonde en un drame plus contemplatif qu’explicite. Pas moins de 3 heures de durée pour exprimer la constance exemplaire de la princesse romaine, Theodora, convertie au christianisme…
Travail interprétatif, genèse et vision de l’oeuvre… Reportage exclusif avec Christoph Spering (entretien réalisé pendant les répétitions), Das Neue Orchester et les solistes de la production présente à Ambronay (Johannes Weisser, Anna Korondi, Juliette Galstian…)
Sommaire des vidéos
vidéo 1
Spécificité de l’ensemble sur instruments d’époque Das Neue Orchester, durée et caractère contemplatif de la partition, extraits du concert donné à Ambronay 2008…
vidéo 2
Ce que révèle Theodora dans l’évolution de l’écriture et de la pensée haendélienne: invention de la « lenteur » dans l’histoire de la musique ; aspect d’une oeuvre profonde et mésestimée qui pourrait se prêter à une mise en scène…
Compte rendu
Lire aussi notre compte-rendu de Theodora de Haendel par Christoph Spering et Das Neue Orchester au Festival d’Ambronay 2008