Bon anniversaire
Monsieur Chopin!
Marathon Chopin:
l’intégrale pour piano
Châteauroux, Paris
Les 26 et 27 février 2010
L’intégrale des oeuvres pour piano de Frédéric Chopin par 60 pianistes en 10 récitals sur un Week-end (2 jours), voilà le marathon fou et le cycle de performances incontournable, organisés à l’initiative des Pianos Pleyel, le samedi 27 février 2010 à Châteauroux (Tarmac), au Pays de George Sand (qui fut la compagne du pianiste romantique), puis le 28 février à Paris, Salle Pleyel.
L’événement phare de l’année Chopin 2010 en France sait
heureusement accorder Paris et Province. L’audience devrait être au
rendez vous: pour le bicentenaire de la firme Pleyel, octobre 2007) les
Pianos Pleyel avait attiré plus de 10.000 spectateurs lors d’une
journée anniversaire mémorable à Paris (un record dans l’histoire des
concerts parisiens).
A Châteauroux et à Paris, l’ensemble des concerts, en accès gratuit, est interprété sur des pianos Pleyel, les
instruments préférés de Chopin.Le pianiste compositeur avouait ne pouvoir obtenir véritablement ce qu’il souhaitait que sur un Pleyel. Hommage inouï avoué par l’un des plus grands créateurs pour le piano.
L’intégrale des oeuvres pour piano en un marathon gratuit
Pianistes invités en février 2010 pour le Week end Chopin à Châtearoux et à Paris: Laurent Cabasso, Abdel Rahman El Bacha, Brigitte Engerer, Yves Henry, Marc Laforêt, Jean-Marc Luisada, Dominique Merlet, Jean-Claude Pennetier, Georges Pludermacher, Bruno Rigutto… également, 30 pianistes confirmés, mais aussi 20 jeunes talents, de 8 à 19 ans recrutés au sein des Conservatoires rayonnement régional de France… puis sélectionnés par un comité spécifique.
Pour cette fête unique en France où Chopin sera fêté à l’occasion du bicentenaire de sa naissance (le 1er mars 2010), les aînés expérimentés accompagnent les plus jeunes dans le souci du partage et de la transmission. En France, Chopin se fait un nom mais aussi rencontre l’amour incarné par l’écrivain George Sand. Pour évoquer la vie du pianiste à Paris et dans le Berry à Nohant où il a composé chaque été, de 1839 à 1846, les comédiens Brigitte Fossey et Pierre Arditi disent les textes des deux créateurs.
La firme des pianos Pleyel, dirigé par Camille Pleyel, a, dès l’arrivée de Chopin à Paris (fin 1831), défendu et accompagné la carrière du jeune Polonais. C’est dans le premier salon de concert Pleyel, 9 rue Cadet, à Paris, que Chopin donne son premier concert, avec le soutien du virtuose plus connu Kalkbrenner, le dimanche 26 février 1832.
Dans une pièce haute de plafond mais à l’espace réservé qui correspond ainsi à la conception intime et introspective chère à Chopin. Les pianos Pleyel sont les instruments familiers du pianiste, dans son appartement parisien, où il donne ses cours (sur un pianino), mais aussi à Nohant où il compose dans une atmosphère familiale réconfortante. Toujours Frédéric Chopin compose avec l’idée précise d’une sonorité idéale, -cuivrée, chaude, ronde moelleuse, caressante-, celle des pianos Pleyel.
Jusqu’à sa mort, le 17 octobre 1849, Chopin demeure fidèle aux pianos Pleyel. Leurs possibilités infinies en matière de résonance et de timbre, de couleur et de rondeur l’intéressent particulièrement; c’est grâce à la richesse du son ainsi trouvée que le compositeur peut annoter sur ses partitions des indications précieuses en termes de dynamiques, de phrasés, de pédale.
Tous les concerts du marathon « Bon anniversaire Monsieur Chopin! » sont gratuits. Plus d’infos sur le site des Pianos Pleyel
