La Société de Musique de Chambre Lyonnaise a 60 ans : cette institution au rôle indispensable dans la vie musicale de la Cité et à l’histoire jalonnée d’invitations prestigieuses s’adapte aux temps actuels, et en renouvelant ses modes d’activité, veut fêter tout cela par un concert d’exception. Le Quatuor Debussy (et leurs élèves du très jeune Varèse), le pianiste François Dumont interprètent classique, romantique, moderne et contemporain.
La Société de Musique de Chambre Lyonnaise a 60 ans : cette institution au rôle indispensable dans la vie musicale de la Cité et à l’histoire jalonnée d’invitations prestigieuses s’adapte aux temps actuels, et en renouvelant ses modes d’activité, veut fêter tout cela par un concert d’exception. Le Quatuor Debussy (et leurs élèves du très jeune Varèse), le pianiste François Dumont interprètent classique, romantique, moderne et contemporain.
Cette Enfance du Christ, certes, « petite sainteté » comme la qualifiait Berlioz, se veut oratorio et tenter de la mettre en scène est une gageure qu’on peut pardonner à Frédéric Andrau de n’avoir pas relevée de façon convaincante : à l’impossible, nul n’est tenu. Sa scénographie, de grands degrés blancs derrière le filtre d’un voile
Né à Tikhvin (à l'Est de Saint-Pétersbourg), d'une famille aristocratique, le jeune Rimsky bien que doué pour la musique doit conformément au rang familial et à la volonté de ses parents guère versés dans les arts et la musique (comme purent l'être ceux du jeune Mendelssohn, également enfant d'une naissance fortunée), suivre des études d'ingénieur et intégrer la marine impériale. Pour autant le musicien n'a pas abandonné la musique...
Une misérable cahute de bidonville et des tags rappelant « Porgy » est d’entrée, dans ce spectacle, un signe nouveau dans l’univers facétieux du tandem, signé cependant, comme dans tous leurs précédents ballets, de l’éclatement de la vision unitaire traditionnelle par l’utilisation de tous les niveaux scéniques: avant-scène, toit de la cabane comme ligne de crête et l’écran en toile de fond surélevée.
3 mars 2009, le Musée de la musique à la Cité de la musique à Paris, réouvre ses portes. L'événement est d'importance: les plus beaux instruments s'exposent dans un parcours renouvelé. Inauguré en 1997, le nouveau toilettage souligne combien il ne s'agit plus d'un simple musée instrumental...
A la source de la Fantastique (1830) et de Lélio (1832), les tourments, obsessions et peines amoureux de Berlioz. Le diptyque que forment les deux oeuvres comme les deux parties d'un même coeur, dessinent un parcours contrasté:
Cyril Huvé poursuit donc sa quête esthétique (rappelons qu'il dirige l'Académie de Musique de La Chaise-Dieu qui est justement dédiée aux problématiques soulevées par la question de l'interprétation), entre poésie et défrichement des mondes sonores. Le défenseur des instruments d'époque (XIXè) et du pianoforte ...
En deux volets complémentaires, Arte souligne avec justesse la figure atypique, attachante du violoniste octogénaire Ivry Gitlis. Après sa lecture du Concerto pour violon de Tchaïkovski, la chaîne diffuse un portrait inédit signée Sandra joxe.
Le Festival Archipel de Genève est l’un des grands événements européens qui se consacrent à une réflexion sur la musique d’aujourd’hui. La session 2009 est placée sous le signe d’une dialectique entre le bruit et le silence, convoquant aussi bien « les classiques du XXe » que les jeunes créateurs qui travaillent aux frontières des sons électroniques et du bariolage des actions ou musiques…actuels.