Pouvait-on imaginer lieu plus approprié pour donner vie à la trilogie Mozart-Da Ponte que l’Opéra Royal du Château de Versailles, enfin rénové et ouvert à nouveau au public ? La salle a retrouvé ses bleus et ses ors, et scintille de tous ses lustres, simplement flamboyante d’élégance et de noblesse.
La Flûte Enchantée de Mozart au Grand Théâtre de Bordeaux...
Avouons-le tout de go, la première impression, à la découverte de cette vision pour le moins particulière du chef-d’œuvre mozartien ne fut pas des plus favorables. Fervent amoureux de cette œuvre, reconnaissons que nous avons ressenti de plein fouet cette mise en scène, au premier abord du moins, comme un sacrilège, un saccage en règle de la poésie et de la noblesse contenues dans la musique. Pourtant, une fois le premier acte passé
La Flûte Enchantée de Mozart au Grand Théâtre de Bordeaux...
Avouons-le tout de go, la première impression, à la découverte de cette vision pour le moins particulière du chef-d’œuvre mozartien ne fut pas des plus favorables. Fervent amoureux de cette œuvre, reconnaissons que nous avons ressenti de plein fouet cette mise en scène, au premier abord du moins, comme un sacrilège, un saccage en règle de la poésie et de la noblesse contenues dans la musique. Pourtant, une fois le premier acte passé
Venue du Theâtre de Bâle, cette Grande-Duchesse de Gérolstein, était fort attendue, en raison de la présence dans le rôle-titre de la cantatrice suédoise Anne-Sophie von Otter, dont c’était une prise de rôle importante au sein du répertoire de Jacques Offenbach.
Pour fêter en beauté le début de l’année 2010, l’Orchestre Symphonique de Mulhouse a placé son concert du Nouvel An sous le signe de la voix en invitant deux artistes français déjà applaudis plusieurs fois sur les scènes de l’Opéra du Rhin : Cassandre Berthon et Ludovic Tézier...
Récital atypique à l'Archipel à Paris. Ce soir, le concert a lieu, de façon quelque peu improvisée, dans une ambiance chaleureuse, quasi-familiale et amicale, pour saluer le rachat des droits et la réédition du disque d’airs sacrés enregistré par le ténor Carlo Ciabrini et le baryton Thierry Delaroche.
Récital mémorable au TCE: Edita Gruberova nous revient plus triomphale que jamais... Prima donna assoluta adulée à travers le monde, au répertoire d’une variété extraordinaire et d’une longévité vocale devenue déjà légendaire, la soprano slovaque Edita Gruberova n’a, paradoxalement, que peu chanté en France.
Au TCE à Paris, Jean-Claude Malgoire dirige Tancrède de Rossini en version de concert. La superbe Elena de la Merced (Aménaïde) semble maîtriser la technique permettant de rendre à la musique de Rossini son éclat. La chanteuse démontre ce qu’est un véritable legato, d’authentiques pianissimi purs, soulevés et flottants...
Au TCE à Paris, Jean-Claude Malgoire dirige Tancrède de Rossini en version de concert. La superbe Elena de la Merced (Aménaïde) semble maîtriser la technique permettant de rendre à la musique de Rossini son éclat. La chanteuse démontre ce qu’est un véritable legato, d’authentiques pianissimi purs, soulevés et flottants...
Master class de Gabriel Bacquier à Puteaux... Ardent défenseur de la musique de son pays et de ses interprètes, divo à l’élégance racée et au franc-parler désormais célèbre, il est l’exemple même du maestro, du maître de chant, exigeant et rieur, intransigeant et protecteur tout à la fois, toujours plein de feu et de passion, d’une flamme propre à pousser hors de leurs limites, hors d’eux-mêmes, les chanteurs venus recueillir ses conseils avisés et précieux.