Créé à Londres au Théâtre royal de Covent Garden, le 16 mars 1750, - alors que Haendel était âgé de 65 ans-, Theodora appartient au cycle des opéras sacrés que le compositeur propose au public londonien. L’oratorio est d’autant plus singulier dans son œuvre qu’il s’agit de la seule partition sacrée dont le sujet puise dans l’histoire chrétienne.
Avant dernier oratorio de Haendel, Theodora puise son sujet tragique dans l'histoire chrétienne. Deux amants Theodora et Didymus sont mis à mort parce que, convertis au christianisme, ils refusent de sacrifier aux idôles. Eternelle grandeur de deux âmes pures soumises et contraintes par une loi inflexible...
Lucia, meutrière malgré elle, exprime le désir d'émancipation d'une jeune femme, contre la loi du clan et de la famille. En registré en septembre dernier à l'Opéra Bastille, cette production permet de retrouver, éclatante après son opération, la soprano Natalie Dessay dans le rôle-titre.
A 14 ans, Mozart formé par son père Léopold qui traverse l’Europe pour faire valoir les dons exceptionnels de son fils, montre de jour en jour, comblant les attentes de cher papa, de réelles dispositions pour la composition. Le voyage en Italie se présente comme des plus inspirants pour le jeune créateur. Le tour d’Italie est fixé à partir du 13 décembre 1769. Ils resteront dans la pays de Monteverdi et Vivaldi jusqu’au mois de mars 1771.