Opéra Royal de Wallonie
Liège, Palais Opéra
Saison 2011-2012
Verdi: La Traviata
Annick Massis, soprano
Liège, Palais Opéra
Saison 2011-2012
Verdi: La Traviata
Annick Massis, soprano
Luciano Acocella, direction
Stefano Mazzonis di Pralafera, mise en scène
Liège, Opéra (Palais Opéra)
Du 19 avril au 8 mai 2012
Nouvelle production
en direct sur internet
mardi 26 avril 2012 à 20h
sur www.dailymotion/operaliege
Avant sa réouverture tant attendue (en septembre 2012), dans une salle rénovée, et un bâtiment réaménagé, l’Opéra royal de Wallonie à Liège frappe fort: une nouvelle production de La Traviata de Giuseppe Verdi est
toujours un événement lyrique, c’est surtout la déclaration et
l’affirmation qu’à Liège, l’Opéra wallon a su défendre sa voix
spécifique sur la scène lyrique européenne et internationale, parmi les
scènes majeures dédiées au spectacle vivant.
Son directeur (qui met en scène le nouveau spectacle), Stefano Mazzonis di Pralafera,
connaisseur du bel canto italien, veille à l’équilibre des
programmations: chaque saison, des repères forts (dont justement cette
Traviata qui marque la saison 2011-2012, avec un choix vocal très
pertinent…), des joyaux oubliés (cette année La Fille de madame Angot de Lecocq dans
une mise en scène soignée, raffinée, incisive… combinaison gagnante
pour le genre opéra-comique), ou cet Equivoco Stravagante d’un Rossini,
juvénile et génial… L’Opéra Royal de Wallonie demeure aussi l’une des
premières maisons d’opéras à lancer et réussir les directs sur internet,
acte militant et visionnaire pour la démocratisation de l’opéra auprès
du plus grand nombre. Déjà sur le site partenaire
dailymotion/operaliege, de nombreux contenus vidéos témoignent de
l’engagement de l’ORW à l’heure numérique…
toujours un événement lyrique, c’est surtout la déclaration et
l’affirmation qu’à Liège, l’Opéra wallon a su défendre sa voix
spécifique sur la scène lyrique européenne et internationale, parmi les
scènes majeures dédiées au spectacle vivant.
Son directeur (qui met en scène le nouveau spectacle), Stefano Mazzonis di Pralafera,
connaisseur du bel canto italien, veille à l’équilibre des
programmations: chaque saison, des repères forts (dont justement cette
Traviata qui marque la saison 2011-2012, avec un choix vocal très
pertinent…), des joyaux oubliés (cette année La Fille de madame Angot de Lecocq dans
une mise en scène soignée, raffinée, incisive… combinaison gagnante
pour le genre opéra-comique), ou cet Equivoco Stravagante d’un Rossini,
juvénile et génial… L’Opéra Royal de Wallonie demeure aussi l’une des
premières maisons d’opéras à lancer et réussir les directs sur internet,
acte militant et visionnaire pour la démocratisation de l’opéra auprès
du plus grand nombre. Déjà sur le site partenaire
dailymotion/operaliege, de nombreux contenus vidéos témoignent de
l’engagement de l’ORW à l’heure numérique…
Annick Massis chante Traviata

diva trop peu visible en France et pourtant vrai grand tempérament à la
sensibilité et au style, idéalement ciselés pour incarner la course
émotionnelle de la courtisane parisienne
(attention: Annick Massis est remplacée les 24, 28 avril puis 3 mai par
Sabina Puértolas). Adulée, glorieuse mais seule et déjà rattrapée par la
maladie, Violetta Valéry découvre à l’extrémité de sa vie, le pur
amour: sa rencontre avec le jeune et sincère Alfredo Germont dont les
sentiments rachètent les fautes et les excès de chair commis par la
pècheresse, est décisive. Pourtant tout ne peut aller si simplement et
la société, sa morale culpabilisatrice, foudroie La Traviata (la
dévoyée)… Violetta doit payer sa vie dissolue. Mais elle meurt sauvée
par son sacrifice. En lire +