En 1828, Maria Garcia devenue Maria Malibran, jeune femme déjà émancipée et indépendante se fait un nom à Paris. Le public parisien ne tarde pas à l'applaudir dans les grands opéras de Rossini.
La légende que suscite aujourd'hui Maria Malibran fut effective dès son vivant. La mort, survenu après un regrettable accident de cheval, une chute malencontreuse pour cette cavalière passionnée pourtant expérimentée, le 23 septembre 1836 à Manchester,...
Seiji Osawa
chef d'orchestre
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France Musique
Jeudi 4 octobre 2007 à 20h
Concert, en direct du Théâtre des Champs-Elysées à Paris
Maurice Ravel: Pavane pour une infante défunte
Henri Dutilleux: Mystère de l'instant
Hector Berlioz: Symphonie fantastique
Orchestre National de France
Seiji Ozawa, direction
Maestro imperator
Seiji Osawa après une longue maladie qui avait fait craindre pour la suite de sa carrière nous revien
le wagnérien de la première heure, qui restait stupéfait lors de sa première écoute de Parsifal, aimerait tant chanter Wotan... et plus réalistement, Amfortas. Dans ce court portrait, Mezzo dévoile la personnalité discrète et attachante du baryton français le plus prometteur de la scène lyrique. Incontournable.
Si depuis qu'elle s'est donnée à Onassis (été 1959), la femme s'est épanouie, la diva Callas s'est tue peu à peu. En 1961, Maria Callas a déserté les scènes lyrique: cinq pauvres représentations pour toute l'année.
1963 pendant laquelle elle ne chante aucun rôle, est une année mouvementée...
Emili Brugalla se forme tout d'abord au Conservatoire supérieur de Musique du Liceu de Barcelone. Le jeune pianiste se perfectionne en particulier auprès Bruno Canino et Maria Curcio. D'ailleurs, une bourse obtenue après l'obtention du Premier Prix des Jeunesses musicales de Catalogne en 1982, lui permet de poursuivre son cycle de perfectionnement
Haitink souligne l'impossibilité des êtres à se comprendre, leur constante incommunicabilité: le poids du passé, les failles des identités rompues et blessées corrompent toute idée d'une issue. La vision est tragique et pourtant d'une poésie continue.
Si José van Dam n'est plus que l'ombre de lui-même, le ténor racé, flamboyant, ascensionnel de Jonas Kaufmann (né à Munich en 1969) hisse la production à son meilleur...Voilà un Alfredo ardent et présent scéniquement dont l'or de la voix fait oublier la faiblesse de ses partenaires. Quant à Sylvain Cambreling, il réalise ce qu'on attend de lui
Portrait du chef d'orchestre milanais qui fut directeur musical du Philharmonique de Berlin, avant Simon Rattle. Réalisé pour ses 75 ans, le docu-portrait précise le travail spécifique du musicien dans son approche des partitions. En complément des films d'archives qui retracent les étapes de sa carrière musicale, de nombreuses répétitions illustrent le fil de l'évocation
Hélène Grimaud joue le dernier des concertos pour piano écrit aux Etats-Unis par le compositeur en 1945 alors gravement malade... Bela Bartok décède le 26 septembre de la même année et laisse une partition inachevée qui sera terminée par son élève Tibor Serly. La première représentation est donnée le 8 février 1946 par l'Orchestre de Philadelphie sous la direction d'Eugene Ormandy avec le pianiste György Sandor.