Joshua Bell,
le violoniste nomade
Portrait
musical d’un virtuose du violon qui a travaillé avec les plus grands
chefs à travers le monde. Posé, authentique, presque timide, le
violoniste virtuose américain Joshua Bell, sous ses airs d’enfant
immortel, est pourtant bel et bien une star, avec à son actif un Oscar,
quatre Grammy Awards, près d’une trentaine d’albums. Il donne plus de
deux cents concerts par an et a travaillé avec les plus grands chefs :
Christoph von Dohnányi, Roger Norrington, Seiji Ozawa, Esa-Pekka
Salonen… Ses enregistrements de Beethoven, Mendelssohn-Bartholdy ou
Sibelius lui ont
valu de beau éloges saluant le son lumineux, tendre, limpide, de son jeu. Violoniste infatigable,
Joshua
Bell s’est aussi ouvert à d’autres univers que le classique. Après son
travail sur West side story, il s’initie au bluegrass américain, et un
Oscar lui a été attribué en 1999 pour son enregistrement de la musique
du film Le violon rouge.
Tout en suivant l’artiste sur scène et en
répétition, le documentaire présente documents d’archives et témoignages de parents et d’amis qui donnent accès à d’autres facettes
de sa vie et de sa personnalité. Le musicien avait mené l’expérience de
l’anonymat, jouant dans le métro new-yorkais: c’est à peine si les
usagers métropolitains s’étaient arrêtés pour l’écouter…
musical d’un virtuose du violon qui a travaillé avec les plus grands
chefs à travers le monde. Posé, authentique, presque timide, le
violoniste virtuose américain Joshua Bell, sous ses airs d’enfant
immortel, est pourtant bel et bien une star, avec à son actif un Oscar,
quatre Grammy Awards, près d’une trentaine d’albums. Il donne plus de
deux cents concerts par an et a travaillé avec les plus grands chefs :
Christoph von Dohnányi, Roger Norrington, Seiji Ozawa, Esa-Pekka
Salonen… Ses enregistrements de Beethoven, Mendelssohn-Bartholdy ou
Sibelius lui ont
valu de beau éloges saluant le son lumineux, tendre, limpide, de son jeu. Violoniste infatigable,
Joshua
Bell s’est aussi ouvert à d’autres univers que le classique. Après son
travail sur West side story, il s’initie au bluegrass américain, et un
Oscar lui a été attribué en 1999 pour son enregistrement de la musique
du film Le violon rouge.
Tout en suivant l’artiste sur scène et en
répétition, le documentaire présente documents d’archives et témoignages de parents et d’amis qui donnent accès à d’autres facettes
de sa vie et de sa personnalité. Le musicien avait mené l’expérience de
l’anonymat, jouant dans le métro new-yorkais: c’est à peine si les
usagers métropolitains s’étaient arrêtés pour l’écouter…